Du 11 au 17 août 2019, six français participeront au premier championnat du monde de Motoplaneur électrique de durée thermique F5J, à Boleraz, en Slovaquie. Pour cette première édition, Alex Gouillon, chef d’équipe, licencié à La Croix Du Sud (78), emmènera six pilotes, trois seniors et trois juniors, sur cette compétition qui réunira 39 nations, et près de 150 pilotes.
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Grâce une préparation de plusieurs mois, lancée par un stage fin mars, jalonnée par la participation à plusieurs concours internationaux et aux grands rendez-vous nationaux, l’équipe de France a travaillé sur ses modalités de fonctionnement et sur les progrès à accomplir, tant sur le plan du matériel, que sur celui de la technique de vol (pilotage et coaching).
L’équipe de France
Seniors :
Juniors :
Les objectifs
L’équipe a acquis une expérience certaine grâce à ses nombreux podiums en concours internationaux et au niveau élevé de ses championnats de France.
En junior, l’équipe a la fierté de pouvoir aligner Adrien GALLET, et compte tenu de ses performances, le chef d’équipe vise ouvertement pour Adrien le titre de Champion du Monde.
Aux côtés de ce jeune pilote prometteur, le chef d’équipe Alex GOUILLON a la satisfaction de pouvoir engager les juniors Nicolas CHANSARD et Aurélien CUTIVET, deux jeunes pilotes déjà bien aguerris, qui accompagneront Adrien à la conquête d’un podium junior par équipe.
En senior, l’objectif est de confirmer les podiums obtenus tout au long de la saison sur le circuit Eurotour (Coupe d’Europe), en plaçant au moins un pilote en finale, et de faire un résultat par équipe.
La Discipline
Le principe est de mettre en altitude, pour un vol de 10 minutes, un motoplaneur à propulsion électrique, qui utilise son moteur seulement 30 secondes (incluses dans le temps de vol) et ce en une seule fois.
Chaque seconde de vol effectuée rapporte un point. Suivant la précision obtenue lors de l’atterrissage, le pilote peut obtenir jusqu’à 50 points supplémentaires, mais ces points sont perdus en cas de dépassement du temps de travail.
Un altimètre est embarqué à bord pour enregistrer l’altitude maximum atteinte au moment de la coupure du moteur. Cette altitude, mesurée, entraîne des points de pénalité : 0,5 point par mètre jusqu’à 200 mètres et 3 points par mètre au-dessus de 200 mètres. Plus le pilote décidera de couper son moteur bas, et moins les pénalités seront importantes. C’est là que se creuseront les écarts entre les concurrents… sous réserve d’avoir réussi à tenir 10 minutes en vol…
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