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Le podium du championnat de France de Motoplaneur électrique de durée thermique radiocommandé (F5J) à Saint-Léger-sur-Roanne (42), les 26 et 27 juin 2021.
Organisé par le Radio Model Club Roannais, c’est sur l’aéroport de Roanne à Saint-Léger-sur-Roanne dans la Loire, que les championnats de France de F5J, Junior et Sénior, ont été organisés le week-end dernier.
66 compétiteurs, dont 5 juniors, étaient présents pour cette compétition, venant de plusieurs régions de France : Auvergne-Rhône-Alpes, Bretagne, Bourgogne-Franche-Comté, Centre-Val de Loire, Grand Est, Normandie, Occitanie, Hauts-de-France, Île-de-France, Nouvelle-Aquitaine et Pays-de-la Loire.
Les podiums du CF F5J Sénior
Médaille d’or : Chansard Nicolas, licencié à Aéro Model Club de Chateaudun (76)
Médaille d'argent : Filliol Frédéric, licencié à Aéromodèles Club de l’Est (54)
Médaille de bronze : André Jérémy, licencié à Ailes Silencieuses (16)
Les podiums du CF F5J Junior
Médaille d’or : Chansard Nicolas, licencié à Aéro Model Club de Chateaudun (76)
Médaille d'argent : Gallet Adrien, licencié à Association Modéliste de la Vallée de la Bresle Normandie Picardie (76)
Médaille de bronze : Senouque Baptiste, licencié à Groupe A. Maillotin (89)
Le club organisateur
Présidé par Pierre-André Jacob, Radio Model’ Club Roannais compte 51 licenciés, dont 3 moins de 18 ans, qui pratiquent Avion et Planeur en loisir.
Le club participe à de nombreuses manifestations sur la plateforme de l’aéroport en organisant des stands d’exposition avec simulateur et construction d’avions en Dépron, des démonstrations publiques durant le meeting grandeur de Roanne ou encore des stands pour les associations de jeunes en situation de handicap ou fragilisés par la maladie.
Mémo sur la discipline : Motoplaneur électrique de durée thermique F5J
Le principe de cette compétition est de mettre en altitude, durant un temps de travail de 10 minutes, un motoplaneur, qui utilise son moteur seulement 30 secondes (incluses dans le temps de vol) en une seule fois.
Chaque seconde de vol effectuée rapporte un point. Suivant la précision obtenue lors de l’atterrissage, le pilote peut obtenir jusqu’à 50 points supplémentaires, mais ces points sont perdus en cas de dépassement du temps de travail.
Un altimètre est embarqué à bord pour enregistrer l’altitude maximum atteinte au moment de la coupure du moteur. Cette altitude, mesurée, entraîne des points de pénalité : 0,5 point par mètre en dessous de 200 mètres et 3 points par mètre au-dessus de 200 mètres. Plus le pilote décidera de couper son moteur haut, plus les pénalités seront importantes. C’est là que se creuseront les écarts entres les concurrents… C’est uniquement l’altitude atteinte qui est prise en compte pour le calcul des pénalités.