L'inconvénient de la technologie, c'est qu'il est parfois difficile de comprendre de quoi l'on parle. Lorsque Parrot évoquait l'avenir de « l'immersion totale », les investisseurs ne pensaient pas qu'il s'agissait du titre en Bourse. Sa chute de moitié depuis l'augmentation de capital de décembre dernier, accentuée lundi par une alerte sur les résultats qui n'est pas vraiment une surprise, montre que « l'expérience immersive » n'est pas réservée qu'à l'utilisateur des drones, le fer de lance de la stratégie d'Henri Seydoux depuis trois ans.
Article à retrouver en intégralité dans les Echos du 27 septembre 2016