Wilfrid propulse son drone dans les airs à la vitesse de l’éclair. A 100 km/h, le châssis à nu du petit bolide de moins de 800 grammes se trémousse de gauche à droite et passe sous les « gates », ces portes plantées dans le sol d’un champ à l’arrière de l’aérodrome niortais. « Grâce à la caméra embarquée sur le drone, l’image est projetée dans le casque et là… on vole dans le noir complet, à la première personne », s’enthousiasme Patrick, membre de l’Aéro Model club niortais.
Article à retrouver en intégralité dans la Nouvelle République édition Deux Sèvres du 1er octobre 2016